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1 étoile seulement, s'adressant à la secrétaire et non à la gynécologue. Le Dr Briend (qui partage le cabinet) est douce et à l'écoute. Mais j'ai du me résigner à changer de gynécologue suite aux 3 échanges avec la secrétaire de ce cabinet. Premier échange verbal le jour de mon unique rendez-vous. Les deux échanges qui suivirent furent téléphoniques, et c'est mon mari (sidéré) qui m'a conseillée de changer de cabinet après que j'ai raccroché, humiliée et en pleurs. Je cite mot pour mot: " Je ne vous transférerai pas au Docteur Briend tant que vous ne serez pas décidée à me dire vos symptômes " ce à quoi j'ai répondu " je suis mal à l'aise, je souhaiterai simplement m'entretenir avec le Docteur Briend suite à l'ordonnance et aux conseils d'hygiène qu'elle m'a prescrit après les résultats de mon prélèvement " " Et bien dans ce cas je raccroche. Si c'est une urgence comme vous dites, ça ne doit pas être très urgent... " je me suis donc forcée à décrire mes symptômes par téléphone afin qu'elle me transfère à la gynécologue, mais je suis tombée de haut lorsque l'unique réponse de sa part fut " vos symptômes ne sont certainement pas aussi graves que vous le dites, vous exagérez, c'est dans votre tête " après quoi elle ajouta une remarque si humiliante concernant mon intimité que je ne peux l'écrire sur internet. J'ignore de quel droit une secrétaire se permet d'émettre un jugement à propos de mon intimité devant d'autres patientes, et se permet de minimiser mon état de santé (méprisant par la même occasion mon état émotionnel). J'ignore si ce comportement est dû au complexe de son grand âge (elle n'est pas toute jeune), à un défaut de compétence (ou aux deux), mais cela ne justifie pas un tel manque de professionnalisme. Refuser à une patiente en détresse l'accès à un avis médical de la part de son professionnel de santé par le chantage ne devrait jamais avoir lieu (surtout de la part d'une personne non qualifiée dont le dédain atteint son paroxysme). Une secrétaire à qui je conseille sincèrement d'apprendre à gérer son agressivité, ayant le besoin répressive d'humilier les patientes (qui refusent de divulguer les détails de leur vie intime par téléphone) en menaçant de raccrocher. C'est donc sans regret que je ne reviendrai pas, bien que le Docteur Briend (je le répète) me semblait tout à fait compétente. Le deuxième échange téléphonique concernait un remboursement. Inutile de préciser que la secrétaire m'a éclaboussé de condescendance une nouvelle fois, une conversation stérile. Certaines personnes devraient se contenter de faire le travail pour lequel elles ont été embauchées, c'est à dire secrétaire, et non gynécologue improvisée ou policière.