
Dr Chambolle-Gaudrie Laure
Avis , RDV et Informations
Avis sur le Dr Chambolle-Gaudrie Laure Psychiatre à Bordeaux : Localisation et Informations
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Honoraires et tarification du Dr Chambolle-Gaudrie Laure , Psychiatre à Bordeaux

Honoraires sans dépassement
Conventionné secteur 1
Localisation de Chambolle-Gaudrie Laure , Psychiatre à Bordeaux
Moyenne des avis sur Chambolle-Gaudrie Laure , Psychiatre à Bordeaux
- Confiance attribuée
- Sympathie
- Clarté des informations médicales délivrées
- Délai pour obtenir un 1er RDV
- Ponctualité/Temps en salle d'attente/Retard
- Desserte par les transports en commun
- Stationnements alentours
- Agréabilité des locaux
Les avis sur Chambolle-Gaudrie Laure , Psychiatre à Bordeaux
Dernière consultation: July 2019
Confiance accordée
Sympathie
Clarté des informations médicales délivrées
Délai pour obtenir un 1er RDV
Ponctualité/Temps en salle d'attente/Retard
Desserte par les transports en commun
Stationnements alentours
Agréabilité des locaux
Le docteur Laure Chambolle est une psychiatre humaine et à l'écoute. Elle a l'art de mettre le patient à l'aise et en confiance, ce qui favorise les confidences. Ni sarcastique, jugeantes ou cassante, elle privilégie la thérapie par la douceur et la confiance réciproque. Je la recommande vivement.
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Le docteur Laure Chambolle est une psychiatre humaine et à l'écoute. Elle a l'art de mettre le patient à l'aise et en confiance, ce qui favorise les confidences. Ni sarcastique, jugeantes ou cassante, elle privilégie la thérapie par la douceur et la confiance réciproque. Je la recommande vivement.
Dernière consultation: November 2024
Confiance accordée
Sympathie
Clarté des informations médicales délivrées
Délai pour obtenir un 1er RDV
Ponctualité/Temps en salle d'attente/Retard
Desserte par les transports en commun
Stationnements alentours
Agréabilité des locaux
J’ai débuté une thérapie avec le docteur Chambolle en Juin 2024. Lors des premières séances, et à trois reprises, cette praticienne m’a proposé que l’on déclare à la CPAM un montant inférieur à celui payé car je la cite « par expérience, la thérapie fonctionne mieux si le patient en est de sa poche pour environ 10 euros ». Mal à l’aise tant par la nature de cette proposition que par l’insistance de cette thérapeute, je refusais toujours justifiant payer déjà une complémentaire santé très onéreuse. Début Septembre, le docteur Chambolle a augmenté ses tarifs; passant de 51,70€ à 60€. Si les montants qu’elle a déclarés ce mois-là étaient corrects, j’ai découvert en faisant mes comptes que ceux du mois d’Octobre et Novembre étaient inexacts. J’ai donc contacté la CPAM pour comprendre. Mon interlocuteur m’a expliqué que tout praticien peut effectuer des dépassements d’honoraires hors nomenclatures dès lors qu’il les déclare comme tels. Or cela n’a jamais été le cas… Lors de la séance suivante, et sans l’accuser d’aucune intention malhonnête malgré une suspicion légitime, j’ai fait part au docteur Chambolle de mon entretien avec la CPAM et lui ai demandé des explications. C’est alors qu’elle a totalement perdu son sang froid: « Vous avez un problème avec l’argent » - « C’est la première fois que je vois ça » - « Qu’est ce que vous avez été téléphoner à l’Assurance Maladie! Il fallait m’en parler avant! » - « J’ai le droit d’augmenter mes tarifs parce que je passe beaucoup de temps avec mes patients » (alors que je n’ai jamais remis en question ni sa légitimité à le faire, ni la qualité de son travail) « Moi je ne vais pas pouvoir continuer à travailler avec vous » Choqué, j’ai préféré quitter son cabinet. Dans l’heure qui a suivi je recevait tantôt un sms de sa part me proposant un remboursement de la somme due, et confirmant l’impossibilité de poursuivre nos séances - me rendant ainsi responsable de cette rupture de confiance -, tantôt un message vocal, la voix hésitante, qui me proposait de reparler de ce que j’avais vécu. Très éprouvé, je refusais catégoriquement d’avoir à nouveau affaire à elle. Les sms suivants m’expliquaient les démarches qu’elle avait engagé sur son initiative auprès de la CPAM pour comprendre son « erreur ». Que l’on soit ou non professionnel de santé, qu’il s’agisse d’une psychothérapie longue ou brève, ce travail induit (consciemment ou inconsciemment) un processus de transfert de la part du patient sur son thérapeute, sans que celui-ci soit bien évidemment la cible. L’abus de pouvoir, l’abus de confiance, la peur, la trahison, le rejet, l’injustice… ces thématiques étaient pourtant au coeur de la thérapie que je réalisais avec le Docteur Chambolle. À mon sens, la réaction qu’elle a eu l’a trahi; preuve de son incompétence sinon de sa malhonnêteté. Les conséquences de ces événements ont été très dévastateurs pour moi, tant sur le plan personnel que professionnel; et vont bien au-delà des 58,10 €. D’ailleurs, je ne veux pas de cet argent car ni ma santé, ni mon honneur et encore moins mon silence ne peuvent être acheté. Dorénavant il me sera impossible d'accorder à nouveau ma confiance à un/une thérapeute; me privant ainsi d'un suivi dont le docteur Chambolle n'ignore pas la réelle nécessité. Le travail thérapeutique doit pouvoir être un espace de confiance où bienveillance , intégrité, éthique et respect prédominent. À vous qui lirez cet avis, je vous laisse libre de l’interprétation que vous donnerez à ces faits. Personnellement, je pense que Madame Chambolle est une praticienne dangereuse, malhonnête, perverse et manipulatrice, irresponsable et indigne de sa profession. Ce genre d’attitude avec un patient moins stable que moi aurait pu avoir des conséquences bien plus graves (décompensations, actes violents, suicide) Je me sens à la fois triste et en colère d’avoir accordé ma confiance à cette personne. J’espère de tout coeur que ce commentaire servira au plus grand nombre pour éviter que d’autres personnes vulnérables ne soient victimes de cette personne.
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J’ai débuté une thérapie avec le docteur Chambolle en Juin 2024. Lors des premières séances, et à trois reprises, cette praticienne m’a proposé que l’on déclare à la CPAM un montant inférieur à celui payé car je la cite « par expérience, la thérapie fonctionne mieux si le patient en est de sa poche pour environ 10 euros ». Mal à l’aise tant par la nature de cette proposition que par l’insistance de cette thérapeute, je refusais toujours justifiant payer déjà une complémentaire santé très onéreuse. Début Septembre, le docteur Chambolle a augmenté ses tarifs; passant de 51,70€ à 60€. Si les montants qu’elle a déclarés ce mois-là étaient corrects, j’ai découvert en faisant mes comptes que ceux du mois d’Octobre et Novembre étaient inexacts. J’ai donc contacté la CPAM pour comprendre. Mon interlocuteur m’a expliqué que tout praticien peut effectuer des dépassements d’honoraires hors nomenclatures dès lors qu’il les déclare comme tels. Or cela n’a jamais été le cas… Lors de la séance suivante, et sans l’accuser d’aucune intention malhonnête malgré une suspicion légitime, j’ai fait part au docteur Chambolle de mon entretien avec la CPAM et lui ai demandé des explications. C’est alors qu’elle a totalement perdu son sang froid: « Vous avez un problème avec l’argent » - « C’est la première fois que je vois ça » - « Qu’est ce que vous avez été téléphoner à l’Assurance Maladie! Il fallait m’en parler avant! » - « J’ai le droit d’augmenter mes tarifs parce que je passe beaucoup de temps avec mes patients » (alors que je n’ai jamais remis en question ni sa légitimité à le faire, ni la qualité de son travail) « Moi je ne vais pas pouvoir continuer à travailler avec vous » Choqué, j’ai préféré quitter son cabinet. Dans l’heure qui a suivi je recevait tantôt un sms de sa part me proposant un remboursement de la somme due, et confirmant l’impossibilité de poursuivre nos séances - me rendant ainsi responsable de cette rupture de confiance -, tantôt un message vocal, la voix hésitante, qui me proposait de reparler de ce que j’avais vécu. Très éprouvé, je refusais catégoriquement d’avoir à nouveau affaire à elle. Les sms suivants m’expliquaient les démarches qu’elle avait engagé sur son initiative auprès de la CPAM pour comprendre son « erreur ». Que l’on soit ou non professionnel de santé, qu’il s’agisse d’une psychothérapie longue ou brève, ce travail induit (consciemment ou inconsciemment) un processus de transfert de la part du patient sur son thérapeute, sans que celui-ci soit bien évidemment la cible. L’abus de pouvoir, l’abus de confiance, la peur, la trahison, le rejet, l’injustice… ces thématiques étaient pourtant au coeur de la thérapie que je réalisais avec le Docteur Chambolle. À mon sens, la réaction qu’elle a eu l’a trahi; preuve de son incompétence sinon de sa malhonnêteté. Les conséquences de ces événements ont été très dévastateurs pour moi, tant sur le plan personnel que professionnel; et vont bien au-delà des 58,10 €. D’ailleurs, je ne veux pas de cet argent car ni ma santé, ni mon honneur et encore moins mon silence ne peuvent être acheté. Dorénavant il me sera impossible d'accorder à nouveau ma confiance à un/une thérapeute; me privant ainsi d'un suivi dont le docteur Chambolle n'ignore pas la réelle nécessité. Le travail thérapeutique doit pouvoir être un espace de confiance où bienveillance , intégrité, éthique et respect prédominent. À vous qui lirez cet avis, je vous laisse libre de l’interprétation que vous donnerez à ces faits. Personnellement, je pense que Madame Chambolle est une praticienne dangereuse, malhonnête, perverse et manipulatrice, irresponsable et indigne de sa profession. Ce genre d’attitude avec un patient moins stable que moi aurait pu avoir des conséquences bien plus graves (décompensations, actes violents, suicide) Je me sens à la fois triste et en colère d’avoir accordé ma confiance à cette personne. J’espère de tout coeur que ce commentaire servira au plus grand nombre pour éviter que d’autres personnes vulnérables ne soient victimes de cette personne.