Médecin en qui j'ai toute confiance. Très professionnel et d'une compétence qui va sans dire. Un style très personnel qui peut sembler un peu déroutant pour certains mais très humain et attentif.

Je ressors de ce premier contact très affectée, voire traumatisée. Les 1ers mots que j’ai donné à mon mari en sortant de l’examen (fibroscopie) ne sont pas suffisamment polis pour que je les écrive ici. En bref, car j’ai juste besoin de passer à autre chose : 1er contact pour une fibroscopie. J’étais assez stressée. Le médecin n’a absolument pas tenu compte de cela, si ce n’est pour faire des commentaires désobligeants après l’examen, alors que j’étais très affectée, que j’avais mal et que j’étais presque en train de suffoquer : « Vous n’allez quand même pas pleurer, vous n’êtes pas une enfant… Non mais je rêve ! » Avant l’examen, les explications ont été très vite expédiées, j’ai vraiment le sentiment de ne pas avoir pu m’expliquer correctement. Il m’a également engueulée (le mot ne me semble pas exagéré) d’être allée aux urgences. Je lui explique que j’étais allée chez mon médecin et que c’est lui qui m’a envoyée aux urgences (il devait d’ailleurs avoir le courrier du médecin). M’a-t-il seulement écouté ? 5 minutes après, il me reproche de nouveau d’être allée aux urgences ! Au final, je ressors de cet examen plus secouée qu’en arrivant. Il enverra les résultats à mon médecin. À moi, il n’a presque rien expliqué, à part que je dois reprendre un rdv avec lui pour une consultation ! Je ne m’étale pas sur les autres choses qu’il m’a dites et qui sont le signe de la piètre estime qu’il a manifestée à mon égard. Bref, je n’ai jamais vécu un moment aussi affreux avec un médecin. Je suis scandalisée et bouleversée.

Je ressors de ce premier contact très affectée, voire traumatisée. Les 1ers mots que j’ai donné à mon mari en sortant de l’examen (fibroscopie) ne sont pas suffisamment polis pour que je les écrive ici. En bref, car j’ai juste besoin de passer à autre chose : 1er contact pour une fibroscopie. J’étais assez stressée. Le médecin n’a absolument pas tenu compte de cela, si ce n’est pour faire des commentaires désobligeants après l’examen, alors que j’étais très affectée, que j’avais mal et que j’étais presque en train de suffoquer : « Vous n’allez quand même pas pleurer, vous n’êtes pas une enfant… Non mais je rêve ! » Avant l’examen, les explications ont été très vite expédiées, j’ai vraiment le sentiment de ne pas avoir pu m’expliquer correctement. Il m’a également engueulée (le mot ne me semble pas exagéré) d’être allée aux urgences. Je lui explique que j’étais allée chez mon médecin et que c’est lui qui m’a envoyée aux urgences (il devait d’ailleurs avoir le courrier du médecin). M’a-t-il seulement écouté ? 5 minutes après, il me reproche de nouveau d’être allée aux urgences ! Au final, je ressors de cet examen plus secouée qu’en arrivant. Il enverra les résultats à mon médecin. À moi, il n’a presque rien expliqué, à part que je dois reprendre un rdv avec lui pour une consultation ! Je ne m’étale pas sur les autres choses qu’il m’a dites et qui sont le signe de la piètre estime qu’il a manifestée à mon égard. Bref, je n’ai jamais vécu un moment aussi affreux avec un médecin. Je suis scandalisée et bouleversée.