J'ai subi une profonde injustice au cours de mon rdv avec la docteur Isabelle Lota.  Je suis arrivée à l'heure de mon rdv (12h00) mais sa secrétaire m'a gentiment expliqué qu'il fallait d'abord s'enregistrer au rez-de-chaussée de l'hôpital.  Chose que j'ignorais et que l'on ne m'a pas précisée lors de ma prise de rdv.  Rien de dramatique, je m'enregistre et arrive à 12h17 dans la salle d'attente, qui est divisée en 2 : il y a une petite pièce et le couloir. Détestant être en retard, je suis soulagée de constater qu'un couple ayant rdv à 11h45 attend dans le couloir.  Quelques minutes après, un homme s'installe dans la petite salle d'attente.  Après plus de 30 minutes d'attente, je m'absente pour aller aux toilettes.  A mon retour, l'homme n'est plus là, il a été reçu par la docteur.  D'autres personnes arrivent et patientent dans le couloir. Après sa consultation, la docteur vient faire « l'appel ». Quand elle vient vers moi elle me demande froidement, sans un regard, le nez plongé dans sa liste : « c'est vous la personne en retard? » Étant donné qu'il était déjà 13h15 et que le couple ayant rdv à 11h45 attendait toujours, j'ai trouvé la question un peu culottée. Mais sous l'étonnement, j'ai répondu bêtement oui... Elle ne m'a même pas demandé mon nom et retourne dans le couloir en disant aux autres patients : « désolée pour l'attente mais une personne est arrivée très en retard et a décalé tout mon planning ». Comment mon retard de 17 minutes, dû, soit dit en passant, à une mauvaise communication de la part de son service, avait généré un retard de 1h30 dans son planning ? Elle repart avec le couple qui avait rdv à 11h45. Lorsque le couple s'en va, je me lève afin de clarifier la situation avec la médecin. Là, elle me dit devant tout le monde, vous avez demandé aux personnes si elles étaient d'accord pour vous laisser passer ? Je lui répond que non, en essayant d'expliquer le malentendu. Elle me répond : « Attendez, je suis venue vous chercher en salle d'attente mais vous n’étiez pas là, j'ai donc pris un monsieur à votre place. C'est tout ! » L'incompréhension est totale : Premièrement, pourquoi m'aurait-elle appelé alors que d'autres personnes avaient rdv avant moi ? Deuxièmement, si mon absence avait été rattrapé par le patient suivant, en quoi étais-je responsable de son retard? Et pourquoi devrai-je céder ma place aux autres patients? Cette situation n'avait aucun sens et était profondément injuste. Je tente à nouveau de lui expliquer ma situation : « J'avais rdv à 12h je suis arrivé à 12h17 car je ne savais pas qu'il fallait s'enregistrer à l’hôpital. » Elle me répond : «  Non, ça sert à rien de s'enregistrer. » Je lui répond que dans tous les cas, je ne suis pas responsable de son retard. Elle me répond : « Ah mais je vous ai rien dit moi...» J'ai donc eu des hallucinations auditives... Le pire est, que sur le coup de la colère, je cède ma place à la personne ayant rdv à 13h ! Au vu du comportement du médecin, aucune communication constructive n'était possible. A aucun moment elle n'a essayé de comprendre. Médicalement parlant, RAS. Bien qu'elle m'a prescrit une crème qui coûte 60€ non remboursée et qu'il n'y a pas eu de résultat significatif.

J'ai subi une profonde injustice au cours de mon rdv avec la docteur Isabelle Lota.  Je suis arrivée à l'heure de mon rdv (12h00) mais sa secrétaire m'a gentiment expliqué qu'il fallait d'abord s'enregistrer au rez-de-chaussée de l'hôpital.  Chose que j'ignorais et que l'on ne m'a pas précisée lors de ma prise de rdv.  Rien de dramatique, je m'enregistre et arrive à 12h17 dans la salle d'attente, qui est divisée en 2 : il y a une petite pièce et le couloir. Détestant être en retard, je suis soulagée de constater qu'un couple ayant rdv à 11h45 attend dans le couloir.  Quelques minutes après, un homme s'installe dans la petite salle d'attente.  Après plus de 30 minutes d'attente, je m'absente pour aller aux toilettes.  A mon retour, l'homme n'est plus là, il a été reçu par la docteur.  D'autres personnes arrivent et patientent dans le couloir. Après sa consultation, la docteur vient faire « l'appel ». Quand elle vient vers moi elle me demande froidement, sans un regard, le nez plongé dans sa liste : « c'est vous la personne en retard? » Étant donné qu'il était déjà 13h15 et que le couple ayant rdv à 11h45 attendait toujours, j'ai trouvé la question un peu culottée. Mais sous l'étonnement, j'ai répondu bêtement oui... Elle ne m'a même pas demandé mon nom et retourne dans le couloir en disant aux autres patients : « désolée pour l'attente mais une personne est arrivée très en retard et a décalé tout mon planning ». Comment mon retard de 17 minutes, dû, soit dit en passant, à une mauvaise communication de la part de son service, avait généré un retard de 1h30 dans son planning ? Elle repart avec le couple qui avait rdv à 11h45. Lorsque le couple s'en va, je me lève afin de clarifier la situation avec la médecin. Là, elle me dit devant tout le monde, vous avez demandé aux personnes si elles étaient d'accord pour vous laisser passer ? Je lui répond que non, en essayant d'expliquer le malentendu. Elle me répond : « Attendez, je suis venue vous chercher en salle d'attente mais vous n’étiez pas là, j'ai donc pris un monsieur à votre place. C'est tout ! » L'incompréhension est totale : Premièrement, pourquoi m'aurait-elle appelé alors que d'autres personnes avaient rdv avant moi ? Deuxièmement, si mon absence avait été rattrapé par le patient suivant, en quoi étais-je responsable de son retard? Et pourquoi devrai-je céder ma place aux autres patients? Cette situation n'avait aucun sens et était profondément injuste. Je tente à nouveau de lui expliquer ma situation : « J'avais rdv à 12h je suis arrivé à 12h17 car je ne savais pas qu'il fallait s'enregistrer à l’hôpital. » Elle me répond : «  Non, ça sert à rien de s'enregistrer. » Je lui répond que dans tous les cas, je ne suis pas responsable de son retard. Elle me répond : « Ah mais je vous ai rien dit moi...» J'ai donc eu des hallucinations auditives... Le pire est, que sur le coup de la colère, je cède ma place à la personne ayant rdv à 13h ! Au vu du comportement du médecin, aucune communication constructive n'était possible. A aucun moment elle n'a essayé de comprendre. Médicalement parlant, RAS. Bien qu'elle m'a prescrit une crème qui coûte 60€ non remboursée et qu'il n'y a pas eu de résultat significatif.