Injections à ARNm: des lanceurs d’alerte continuent le combat

Le chemin de croix d’un cardiologue britannique

Sur Twitter, le Dr Aseem Malhotra se réjouit de la publication d’un récent article dans Journal of Insulin Resistance. Si l’on en croit le soulagement exprimé, l’auteur a traversé pour cela un véritable parcours du combattant:

J’ai passé 9 mois sur cet article et aujourd’hui, il est enfin publié après un long et rigoureux processus d’examen par les pairs. C’est peut-être le travail le plus important de ma carrière jusqu’à présent et il a des implications pour chaque être humain sur la planète.

Résumé de l’article

La revue internationale Journal of Insulin Resistance a donc finalement validé l’article, après l’incontournable « revue par les pairs », le 26 Septembre 2022.

Nous en avons traduit le résumé (Abstract).

Contexte :

En réponse au coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2), on a administré plusieurs nouveaux agents pharmaceutiques à des milliards de personnes dans le monde, y compris des personnes jeunes et en bonne santé peu exposées au virus. On a laissé une marge de manœuvre considérable aux essais précliniques et cliniques à ces traitements, malgré un mécanisme d’action entièrement nouveau et l’absence de connaissance sur les caractéristiques de biodistribution.

Objectif :

Mieux comprendre les véritables avantages et les inconvénients potentiels des vaccins à acide ribonucléique messager (ARNm) contre la maladie à coronavirus (COVID).

Méthodes :

Un recueil attentif des preuves issues d’essais randomisés et des données du monde réel des produits d’ARNm anti-COVID avec un accent particulier sur le vaccin BionTech/Pfizer.

Résultats :

Dans la population non âgée, le « nombre de personnes à traiter » pour prévenir un seul décès se chiffre en milliers. 

Une nouvelle analyse d’essais contrôlés randomisés utilisant la technologie de l’acide ribonucléique messager (ARNm) suggère un plus grand risque d’événements indésirables graves liés aux vaccins que d’hospitalisation pour COVID-19. 

Les rapports de pharmacovigilance et les données empiriques de sécurité, sous-tendus de mécanismes pathogènes plausibles, sont profondément préoccupants. On l’observe, en particulier, en ce qui concerne la sécurité cardiovasculaire. 

L’essai de phase 3 de Pfizer a généré un signal potentiel. On a observé en 2021 une augmentation significative des appels au SAMU pour arrêt cardiaque en Angleterre. Des données similaires proviennent d’Israël pour le groupe d’âge des 16 à 39 ans.

Conclusion :

On ne peut pas dire que le consentement à recevoir ces agents pharmacologiques ait été pleinement éclairé. L’éthique et la loi l’exigent pourtant. 

Une suspension et une réévaluation des politiques mondiales de vaccination contre le COVID-19 restent attendues depuis longtemps.

Contribution :

Cet article souligne l’importance d’aborder la santé métabolique pour réduire les maladies chroniques. La résistance à l’insuline est également un facteur de risque majeur de COVID-19 sévère.

Référence: Malhotra, A. (2022). Curing the pandemic of misinformation on COVID-19 mRNA vaccines through real evidence-based medicine – Part 1. Journal of Insulin Resistance, 5(1), 8 pages

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