Endocrine, 16 Janvier 2021

Selon la revue internationale Endocrine, il existe un lien manifeste entre « taux de vitamine D » et « risque d’être hospitalisé pour COVID ».

Certains s’obstinent à prétendre qu’il n’existe aucune mesure -ni thérapeutique, ni préventive- pour agir sur la COVID-19. Ils pensent le vaccin être l’unique mesure, nécessaire et suffisante.

D’autres continuent à rechercher les solutions pour « soigner ». Certaines seraient facilement accessibles et sans danger. Il existe peut-être un large éventail de mesures médicales envisageables. Parmi elles, la vitamine D.

Résumé de l’article

« Le coronavirus (SARS-CoV-2) provoque la COVID-19. La maladie a déjà touché plus de 54 millions de personnes dans le monde. Elle a causé plus de 1,3 million de décès.

La plupart des patients se rétablissent sans incident. En revanche, certains développent une détresse respiratoire aiguë. Cette complication nécessite une hospitalisation. Les facteurs de gravité comprennent le sexe masculin, le diabète sucré, l’obésité et l’hypertension artérielle.

Un autre facteur de risque potentiel, récemment reconnu, est la carence en vitamine D.

La vitamine D est un modulateur important de l’immunité innée et acquise. De faibles niveaux favorisent les infections bactériennes et virales. De plus, dans les pays où les taux de 25-hydroxyvitamine D sont inférieurs, la mortalité par COVID-19 est plus élevée.

Des études préliminaires suggèrent que la supplémentation en vitamine D peut améliorer les pronostics.

La plupart des données impliquant la vitamine D et le COVID-19 ont été indirectes. Néanmoins de récents rapports ont montré des niveaux nettement réduits en vitamine D parmi les personnes hospitalisées pour COVID-19. Ces observations sont cohérentes avec un rôle pathophysiologique plausible de la vitamine D dans le processus pathologique. »